Alors que sort en salle, début 2011, le deuxième film inspiré de la série Largo Winch, les Éditions Dupuis proposent une édition spéciale du diptyque qui a inspiré le scénario de ce nouveau long-métrage, « La Forteresse de Makiling » et « L’Heure du tigre ».
Pour mémoire, l’histoire en quelques mots : piégé en Birmanie, Simon se retrouve malgré lui au coeur d’une machination dirigée contre Largo Winch. Prêt à tout pour sauver son ami, Largo va devoir tromper les services secrets américains et défier le pouvoir birman, au prix d’un pacte dont il ne pourra jamais se dédire. Obligé de prendre le maquis avec les rebelles Chan, il va participer à leur combat en déjouant le piège tendu par le pouvoir birman… et la CIA.
En évoquant, à travers des épisodes choisis, la fondation, le rayonnement et la décadence de l’Abbaye d’Orval, Jean-Claude Servais brosse le portrait d’un ordre religieux animé d’un idéal de pureté, rattrapé par les turpitudes de ce monde. Il nous raconte aussi l’histoire de deux hommes que tout sépare, mais dont la destinée se retrouve liée par l’Abbaye. L’un y est moine et reste dans ses parages alors même qu’elle n’existe plus, ravagée par la Révolution. L’autre en convoite la richesse, accroché à la légende selon laquelle les moines auraient dissimulé, avant leur fuite, un trésor dans ses souterrains. Le drame, noué avant même la Révolution, éclate lorsque le fils illégitime du second surgit, et essaie d’arracher au moine reclus dans la forêt le secret de ce fameux trésor.
Rien ne prédestinait Jeanne, militante communiste passée dans la Résistance, à rencontrer François, un monte-en-l’air gouailleur et volontiers cynique. Et encore moins à devoir fuir en sa compagnie pour échapper à la traque de la police française et de la Gestapo. Dans cette France de juin 1944 où rafles et dénonciations ont encore cours, leurs destins vont se trouver étroitement liés… pour le meilleur et pour le pire.
Tandis qu’Amandine, la cochonne myope, cherche désespérément son porcelet disparu, Salvatore, le chien mécanicien se lance à l’assaut des routes pour rejoindre la belle Julie partie il y a des années en Amérique du Sud. Une histoire décalée et jubilatoire signée de Crécy, dont voici la première saison en Intégrale.
Née dans les années 1970, la série « Pauvre Lampil » fut la première chronique satirique sur le quotidien d’un dessinateur de BD. Créée par Lambil et Cauvin pour se moquer de la manière dont le Journal de Spirou fonctionnait ainsi que de la manière dont ils y travaillaient, elle témoigne d’un cruel sens de l’autodérision aussi surprenant que jubilatoire. N’hésitant pas à se mettre en scène eux-mêmes, Lambil et Cauvin ont pris le risque, sous couvert d’en rire, d’ouvrir de véritables failles dans leur collaboration. Une collaboration qui devint de plus en plus houleuse, au fur et à mesure que s’aiguisait un humour toujours plus coupant dans les gags de « Pauvre Lampil », au point d’en arriver à une fâcherie telle que les deux auteurs ne se parlèrent plus pendant trois ans. Une série pionnière dans son genre, dont on retrouve l’intégralité dans ce volume qui regroupe non seulement les albums, mais aussi les gags seulement publiés dans le Journal de Spirou.
À l’occasion de la diffusion du téléfilm tiré de la saga L’Épervier sur France 2 et France 3, les Éditions Dupuis publient le récit du tournage, illustré de photos de tournage et de dessin de Patrice Pellerin. De la naissance du projet à sa concrétisation, ce livre retrace les étapes de l’adaptation d’une grande bande dessinée d’aventure à l’écran. Des anecdotes de tournage émaillent ce récit vivant et documenté, qui revient sur les origines de la série, sa trame et ses personnages.
C’était trop beau ! Ça ne pouvait pas durer ! Diego et Tamara, c’est fini ! Il faut dire qu’elle a découvert son chéri très dévêtu dans les bras d’Anaïs nue ! La rupture fut immédiate, forcément. Mais ce qu’ignore Tamara, c’est que le beau Diego est tombé dans un piège ourdi par des briseuses de couples.
Tamara parviendra-t-elle à oublier son premier grand amour ? Diego arrivera-t-il à prouver son innocence ?
Créé au lendemain de la seconde guerre mondiale par Georges Troisfontaines, Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, Buck Danny figure au panthéon des héros les plus populaires de la bande dessinée. Ce premier volume de l’Intégrale permet de redécouvrir les albums fondateurs de la légende Buck Danny, plébiscitée par des générations de lecteurs.
En effet, on retrouve dans ce premier volume de l’Intégrale, l’aventure «pilote» de la série, « L’Agonie du Bismarck », un récit de guerre publié dans le Journal de Spirou en 1946. C’est avec cette histoire d’aviation et de marine en noir et blanc que Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon débutent leur longue collaboration, qui ne prendra fin qu’avec la disparition d’Hubinon en 1979. S’inspirant du physique de Georges Troisfontaines, patron de l’agence World Press, et co-créateur de la série, pour laquelle ils travaillent tous les deux, ils développent le personnage de Buck Danny, qui fait son apparition dans « Les Japs attaquent » puis dans « Le Mystère de Midway », les deux albums fondateurs de la série.
Après « La Vieille dame qui n’avait jamais joué au tennis », voici le nouveau recueil de nouvelles de Zidrou et d’une dizaine de dessinateurs, parmi lesquels on retrouve de grands noms comme Fournier (à qui l’on doit la superbe couverture) ou Frank Pé. Sont réunies ici quatorze histoires courtes, drôles et décalées, toutes inédites en albums. Scénariste de nombreuses séries (« ProTecto », « Le Boss », « Tamara », « Elève Ducobu », « Les Crannibales », etc.) et pilier du Journal de Spirou, Zidrou manie avec aisance tous les registres de l’humour, du très noir au bon enfant en passant par le franchement satirique. Le recueil de nouvelles « La Vieille dame… », unanimement salué pour sa profondeur et sa sensibilité, avait dévoilé il y a un an une nouvelle facette de son talent de conteur. Les onze dessinateurs sont Alexeï, Bodart, Edith, Fournier, Frank, Jordi Lafebre, Mio Franco, Roger, Oriol, Laurent Van Beughen.
La course du siècle mêlant voitures de tourisme et prototypes se prépare : 22.795 kilomètres divisés en 15 étapes du nord du Canada à Ushuaia, extrême pointe sud du continent américain. Une course folle pour laquelle l’écurie Vaillante a construit deux Rush, des voitures de grand tourisme, piloté par Michel Vaillant et Steve warson. Mais deux Leader, pilotées par les infects Cramer et Hawkins, sont aussi de la partie.