Massacre pour un moteur

Les deux malfaisants, Kramer et Hawkins, arrivent dans le repaire de leur patron le Leader et y découvre les aménagements secrets de l’équipe Leader. Pendant ce temps, nos amis Vaillant et Warson se retrouvent à Détroit pour préparer la course du siècle : le raid Canada-Terre de feu. Mais ils ne se doutent pas que le Leader les poursuit avec une haine farouche.

Chose peu courante pour Michel Vaillant, l’action se passe ici exclusivement à moto. Michel sera accompagné de Joël Robert, champion du monde de moto cross. Toutes les spécialités du sport motocycliste sont passés en revue : du trial à l’épreuve de moto cross, en passant par une épreuve très spectaculaire qui s’intitule : « La montée impossible ».

Les Automobiles Vaillante mettent le paquet lors du rallye international T.A.P. qui se déroule entre l’Espagne et le Portugal. Elles envoient trois équipes mixtes dont font partis Michel Vaillant et Steve Warson. Les équipages vont devoir subir l’humeur et les mauvaises manières d’une terrible Américaine, Betty, bien décidée à gagner la course avec un style frôlant parfois l’hystérique.

Afin de garder des voitures au top, Jean-Pierre Vaillant fait part à ses pilotes de son désir de modifier certains détails techniques des formules 1 de l’écurie Vaillante. Mais pour ce faire, il doit déjà faire quelques tests sur les voitures actuelles. Jacky Icks, Steve Warson et Michel Vaillant vont endosser la casquette de pilote d’essai pour une semaine, avant de se lancer corps et âme dans la lutte pour décrocher le titre de champion du monde.

Henri Vaillant, patron des usines du même nom et père de Michel, a décidé de faire courir ses superbes Stock-cars aux États-Unis. L’équipe de pilotes est rapidement constituée, Michel, Steve Warson et Chuck Danver. Les 500 miles de Riverside ouvrent la saison. Après les épreuves de qualification, nos Vaillant prennent le départ sous l’oeil circonspect et amusé des autres teams, bien décidé à ne pas faire de cadeaux aux français.

Maki traîne son adolescence entre les rayons de la Fnac, les couloirs du métro et l’appartement de sa mémé. Entre les gros durs qui roulent de la caisse, les filles dédaigneuses et les adultes à la ramasse, Maki découvre la vie, mais n’en maîtrise à peu près aucun aspect. Pas très à l’aise et un peu à côté de la plaque, il se retrouve régulièrement dans des situations improbables : s’il essaie de voler un CD, non seulement il se fait prendre la main dans le sac, mais en plus c’est un CD de Nana Mouskouri. Cet anti-héros attachant et maladroit est plébiscité, depuis son arrivée dans les pages du Journal de Spirou, par les lecteurs de l’hebdo, qui l’ont désigné comme l’un de leurs personnages préférés.

Quoi de mieux que d’apporter un jouet pour se faire des copains à la récré ? Hugo a un super jouet, il est magique et peut se transformer à volonté. Tous ses copains l’adorent, mais ils délaissent Hugo. Le jouet Zinzin est devenu un rival, et il ne supporte pas la moindre concurrence. Qu’à cela ne tienne : Hugo va leur prouver qu’il est plus drôle et plus intéressant que n’importe quel jouet, magique ou non !

Au fil des cinq albums, Dodji, Leïla, Camille, Yvan et Terry ont affronté des dangers toujours plus inquiétants et angoissants : les animaux échappés du cirque, l’adolescent attardé mental fan de couteaux, le jeune nazillon qui tyrannise son clan d’enfants occupant un parc d’attractions, les singes kidnappeurs au comportement étrange et ultra-violent, l’exploration de la zone rouge, la mort de l’un d’entre eux… Et pourtant, ils n’ont encore rien vu et tout se déglingue jusqu’au climax final, aussi terrifiant que surprenant.

Avec la Libération, qui coïncide avec la renaissance du Journal de Spirou, s’ouvre une période de travail intensif pour Jijé. Entre autres projets, il reprend la série Spirou pour laquelle il crée le personnage loufoque de Fantasio. C’est ce nouveau personnage que l’on retrouve, aux côtés de Spirou dans l’album « Spirou et l’aventure », qui réunit les épisodes de l’histoire écrite et dessinée par Jigé dans le Journal de Spirou en 1944 et 1945. Sur la trame d’un voyage dans le temps, Jijé livre là une des histoires fondatrices du duo, sur un mode feuilletonesque des plus réjouissants.

Jeune anglais fugueur en rupture de ban avec sa famille, Gifford rencontre Lhal, gardienne du Bouddha d’Azur, dans une lamaserie tibétaine. Un amour impossible naît instantanément entre ces deux êtres, bientôt séparés par l’attaque du monastère par les troupes chinoises : l’invasion du Tibet par la Chine vient en effet de commencer. Treize ans durant, Gifford recherche inlassablement Lahal, disparue lors de l’assaut du monastère… C’est cette quête à la fois spirituelle et amoureuse que nous conte Cosey, dans son style limpide et précis, sur fond d’occupation du Tibet et de tensions politiques sino-tibétaines.