Ce premier tome du Labo regroupe une série de reportages BD réalisés par Jean-Yves Duhoo pour le Journal de Spirou, qui publie depuis un an et demi les visites de ce dernier dans les laboratoires d’organismes de recherche prestigieux comme le Centre National de la recherche scientifique (campus de Gif sur Yvette), le CNRS, au Museum d’Histoire naturelle, l’Institut de Biologie Physico-chimique, l’Observatoire de Paris, ou encore le Synchrotron (accélérateur de particules de la Plaine de Saclay, en France).
Avec beaucoup d’humour (mais avec la plus grande rigueur scientifique !), Jean-Yves Duhoo nous entraîne à sa suite dans ces laboratoires dont on ne sait finalement pas grand-chose. Et pourtant le produit des recherches qui y sont menées ne tardera pas à investir notre quotidien ! L’action du soleil sur la planète, le fonctionnement de la mémoire, l’étude de la matière, l’observation des fossiles…
Jean-Yves Duhoo va à la rencontre des chercheurs et des scientifiques, sur leurs lieux de travail, pour qu’ils puissent expliquer ce qu’ils font, comment ils s’y prennent, et avec quels outils. Au final, une série de reportages dessinés qui ouvrent des portes insoupçonnées pour tous, jeunes comme adultes, sur l’avancement de la science.
Parti pour secourir une vieille dame tombée dans son escalier, Jérôme se retrouve menotté par le GIGN, sur les dents depuis l’évasion spectaculaire de l’Ennemi public n°1 aidé par un jeune homme… qui ne sont autres que le fils et le petit-fils de la vieille dame. Tout se complique quand des malfrats un peu branques enlèvent Jérôme, convaincus d’avoir affaire au fils de leur ancien complice, et lui révèlent sans le vouloir que l’Ennemi public n°1 vient de mourir. Tué… par son fils ? Une cavale qui tourne mal et qui vire au drame familial, il n’en faut pas plus pour que notre détective de choc décide de tirer au clair cette ténébreuse affaire.
Voleur à la tire quelque part dans le nord de la France, Andreï vit misérablement en attendant le miracle qui lui permettra d’obtenir des papiers. Le soir de Noël, c’est plutôt une malédiction qui s’abat sur lui, en la personne d’un compatriote, mafieux et ancien ami de son père… auquel il a commis l’erreur de faucher le portefeuille. La sentence tombe, implacable. Dans vingt-quatre heures, il sera exécuté pour ce méfait.
En racontant ce « jour de grâce », à comprendre dans tous les sens du terme, Marc N’Guessan et Gani Jakupi mettent en scène la détresse et la solitude d’un jeune homme sans refuge, perdu dans un monde qui ne veut pas de lui. Paradoxalement rappelé à la vie par cet ultimatum, il va devoir affronter sa destinée comme jamais il n’avait osé le faire.
Une 8e tome qui démarre bien mal pour Michel Vaillant, victime d’accidents spectaculaires qui lui enseignent combien la gloire est volatile. Du coup, l’entreprise familiale se rabat sur la recherche technologique et Michel se retrouve pilote d’essai pour la recherche spatiale, aux prises avec de multiples espions ! Et puis Jean Graton nous propose un album des plus originaux, consacré aux compagnes et aux mères de pilotes, ainsi qu’aux femmes au volant de bolides. Une passionnante suite de portraits abordant un aspect méconnu des courses automobiles !
Ce Tome 8 reprend les titres suivants : « Série noire », « Cauchemar » et « Des filles et des moteurs ». Comme chaque tome, ce 8e volume est enrichi d’un dossier documentaire abondamment illustré racontant le sport automobile de ces années-là.
Ce volume comprend les histoires inédites et albums suivants : « Alerte à Eslapion sous Rajevols », « Les Évadés », « Le petit homme sui rit », »Le coq en pâte », « Des pâques pour deux enfants », « Des souris et des petits hommes », « Des petits hommes font la bombe », « L’exode » (tome 1)
Réduits à une taille liliputienne après avoir été en contact avec une étrange météorite, les « petits hommes » ont construit une cité dissimulée aux yeux des « grands », Eslapion. Tout est compliqué quand on est de la taille d’une souris ; des animaux jusqu’alors anodins deviennent de dangereux prédateurs, au même titre que les autres hommes, restés à leur taille normale et dont il faut se cacher pour ne pas devenir un cobaye de laboratoire. Ce sont ces premiers pas des Petits Hommes dans un monde plein de dangers que racontent les histoires réunies dans ce recueil, indispensables pour redécouvrir les temps forts de la série.
Malédiction ! Mélusine est devenue Cancrelune avec tout ce que cela implique de chutes de balais, de potions ratées et de réflexions abruties ! Du coup, Mélusine n’est plus Mélusine et son moral s’en ressent alors que Cancrelune savoure sa nouvelle vie où le balai n’a plus de secret, où les fenêtres sont des portes d’entrée et où les potions n’explosent plus tout le temps en pleine figure ! Y a pas à dire ce changement de rôles n’est pas une malédiction pour tous !
Mélusine redeviendra-t-elle Mélusine ? Cancrelune comprendra-t-elle enfin (!) ce qu’est une malédiction ? A vous de le savoir en rejoignant ces deux copines dans ce nouveau tome riche en rebondissements !
De passage chez de vieilles connaissances, Jeremiah intervient par hasard dans une bagarre, dans un bar. Pris malgré lui dans le conflit qui oppose les ouvriers de la mine locale à leur patron, Jérémiah va se retrouver dans la ligne de mire du fils du propriétaire de l’exploitation minière… Pas vraiment un modèle d’intelligence et de discernement, qui va trouver en la personne de Jeremiah, secondé par Kurdy, une vraie raison de regretter d’avoir été si bête.
Ce premier tome de la réédition en intégrale des aventures de Charly regroupe les quatre albums du premier cycle de la série, « Jouet d’enfer », « L’Île perdue », « Le Réveil » et « Le Piège », qui tournent autour de la relation entre le petit Charly et son redoutable jouet.
Charly, 6 ans, est un petit garçon sensible. Son grand héros, c’est le capitaine Foudre, un vaillant personnage de dessin animé qui fait régner la justice dans l’espace. Aussi, lorsque son père lui offre une reproduction du vaisseau spatial de son idole, l’enfant ne quitte plus son jouet, qu’il emmène partout avec lui. Le problème, c’est que ce jouet présente une singularité aussi fascinante qu’effrayante : miraculeusement doté d’une vie propre, il est prêt à tout pour satisfaire les caprices de l’enfant. Et un vaisseau spatial, c’est une redoutable arme de guerre…
Ce tome comprend: « Les trois yeux des gardiens du Tao » et « La voie et la vertu ».
Engagé à vie par un serment auquel il avait dû consentir pour sauver son ami Simon, Largo croit l’heure venue de payer sa dette aux triades qui l’avaient aidé à prendre d’assaut la forteresse de Makiling. Aveuglé par sa loyauté, il tombe dans un piège redoutable à Hong-Kong. Un piège d’autant plus redoutable qu’il n’est pas vraiment le bienvenu aux yeux des autorités chinoises, avec lesquelles il a un ancien contentieux…
La réédition des aventures de Largo Winch en diptyques gold collector prend fin avec ce huitième tome des « Vingt ans » de la série de Francq et Van Hamme.
