Secrets L’Angélus – tome 1/2

Alors que rien ne semblait devoir tirer Clovis de la torpeur un peu triste de son quotidien, entre un travail sans relief, une vie de famille sans joie et une vie sociale à peu près inexistante, la découverte de « L’Angélus », de Millet, à Orsay, le bouleverse. Les émotions inconnues que suscite cette oeuvre le poussent à découvrir ce qui se cache derrière l’image. Troublé par les versions qu’en a faits Dali, il se convainc que là réside la clé du mystère. Parallèlement, il explore les souvenirs personnels que cette toile a fait resurgir inopinément…

Ce volume comprend les albums suivants : « Sorti des abîmes », « Tif et Tondu à New York » et « Le scaphandrier mort » (1972 – 1974)
Tif le chauve et Tondu le barbu constituent un duo de choc indissociable de l’histoire des éditions Dupuis et du Journal Spirou. En quarante-cinq albums, publiés sur une période de près de soixante ans, ils mettent knock out le mystère, en déjouant les plans souvent machiavéliques de malfrats de tous poils. Un savant dosage d’aventure, d’enquête policière, de fantastique et d’humour fait de cette série, et des personnages dessinés par Will, un classique du genre, intemporel et indémodable.

Ce tome comprend : « La forteresse de Makiling » et « L’Heure du tigre »
Piégé en Birmanie, Simon se retrouve malgré lui au coeur d’une machination dirigée contre Largo Winch. Prêt à tout pour sauver son ami, Largo va devoir tromper les services secrets américains et défier le pouvoir birman, au prix d’un pacte dont il ne pourra jamais se dédire. Obligé de prendre le maquis avec les rebelles Chan, il va participer à leur combat en déjouant le piège tendu par le pouvoir birman… et la CIA.
À l’occasion du 20e anniversaire de la série culte de Francq et Van Hamme, les éditions Dupuis lancent une édition limitée en 8 diptyques.

Hugo n’a pas sommeil, mais pas question de se morfondre : un gros chien jaune, tout droit sorti de son imagination va jouer avec lui… jusqu’à l’épuisement !

Pour Charles le fermier, cela ne fait pas un pli : Désiré est bien le papa du veau Hervé… et il est prié de remettre ça, taureau-vache ou pas !
On avait quitté Désiré, le taureau qui se prend pour une vache, de nouveau privé de l’usage de la parole, après que la foudre lui soit tombé dessus une seconde fois, et obligé de quitter la ferme de Charles.
Ce nouveau tome poursuit le récit des péripéties de Désiré ; il va certes retrouver ses vertes pâtures auprès de Charles et de sa femme, mais aussi la cruelle obligation de faire la cour à la vache Rosette… Heureusement pour lui, la foudre lui tombe dessus une nouvelle fois, il peut donc de nouveau parler. Peut-être arrivera-t-il enfin à vaincre l’obstination de Charles, et réussira-t-il à avoir la paix une bonne fois pour toutes ?

Un journaliste, ancien combattant de la Grande guerre sauvé par Célestin, décide de lui rendre un dernier hommage en publiant un article sur lui. En quête de souvenirs, il arrive au Zoo, dont il relate la découverte au fil de lettres qu’il adresse à son meilleur ami. Il y fait la connaissance d’Anna, la dernière habitante de ce lieu magique. Emerveillé, il raconte la poésie et la richesse de cet îlot hors du monde, encore vibrant de l’humanisme de Célestin et des siens.
Toute la magie de l’univers imaginé par Frank Pé et Philippe Bonifay à travers ce beau livre réunissant un texte et des dessins inédits, pour une promenade poétique dans les allées du Zoo.

C’est la première fois que ça lui arrive et il aimerait bien en parler à quelqu’un. Mais il peine à trouver un confident : son psy est trop occupé avec ses propres problèmes, ses parents sont en train de divorcer, sa mémé a Alzheimer et son fantôme de pépé a un passé de Dom Juan qui ne plaide pas en sa faveur. Car Napoléon voudrait connaître le grand Amour, le vrai !
Conseillé par Noël, un garçon très efféminé qui a l’air de bien comprendre les filles, Napoléon se rend compte qu’il n’a qu’une chose à faire : attaquer ! Et pour ce faire, il va devoir épater l’élue de son coeur. C’est en toute discrétion que le jeune garçon va se mettre à des activités (danse classique, poney) qui n’ont pas spécialement bonne presse auprès de ses machos de copains.
Et Napoléon va découvrir que l’amour comporte des dangers redoutables…

Accompagnée d’Emilia, Yoko Tsuno se rend en Écosse chez Cécilia, dans un château anciennement hanté, pour résoudre un nouveau mystère : lors de la restauration des caves du château, un catafalque a été trouvé. Celui-ci contenait un automate qui, selon d’anciens manuscrits, ne serait autre que la servante de Lucifer arrivée sur terre sur un animal diabolique ! Pour résoudre ce mystère, Yoko n’a d’autre choix que de descendre sous terre avec l’aide de la Vinéenne Khâny et de réanimer Zarka, la servante de Lucifer, avec qui elle conclura un pacte qui l’amènera à rencontrer celui qu’on appelle «le diable»…

Ce tome comprend : « Golden Gate » et « Shadow »
Simon en vedette de feuilleton, il fallait y penser ! Tandis qu’il se pavane en Une des magazines people, Largo s’interroge sur les tenants et aboutissants de cette production au script insipide, dont le budget démesuré et le financement douteux sentent sacrément l’arnaque. Ce que ne sait pas encore Largo, quand il décide de se mêler de cette histoire, c’est que la cible de l’arnaque, c’est lui. Jeté en prison pour un viol qu’il n’a pas commis, dans la cellule voisine du N°2 du Groupe W accusé de fraude par l’IRS, il va lui falloir prouver, et vite, son innocence et celle de Cochrane. Un épisode qui met l’aventurier milliardaire le plus célèbre de la BD aux prises avec les requins du showbiz et de l’entertainement !
À l’occasion du 20e anniversaire de la série culte de Francq et Van Hamme, les éditions Dupuis lancent une édition limitée en 8 diptyques.

Petit poilu embrasse sa maman, part à l’école et… rencontre une cigogne. Elle l’attrape, et vogue de par les airs ! Catastrophe, la cigogne ouvre grand son bec, Petit poilu dégringole dans une cheminée et atterrit chez des inconnus au pied du sapin, comme un cadeau tombé du ciel. La petite fille de la maison s’entiche bien vite de ce joujou poilu… Mais quelle enfant capricieuse !