La Pologne vue par les yeux d’une enfant

Les souvenirs de Marzena Sowa sur cette période charnière de la Pologne forment un témoignage unique. Loin de l’aridité d’un documentaire, à l’instar des grands succès du genre, la bande dessinée nous fait partager l’intimité d’une petite fille et de sa famille, dans le contexte si proche et si lointain des pays de l’Est.
Elle avait sept ans quand elle a vécu l’état de siège de la Pologne, la pénurié, la création du syndicat Solidarnosc, le bras de fer entre Jaruszelski et Walesa, l’explosion de la centrale de Tchernobyl. Ses souvenirs sont restés là, n’attendant que le moment où l’auteur Marzena serait prête à retrouver l’enfant Marzi…


Sales petits voleurs !

Ludo en a marre. Marre de ses parents qui n’ont même pas la télévision, marre de ses copains qui ne comprennent rien, marre de Castar et de ses BD pour bébés. Heureusement, il y a Gaétan. Gaétan, lui, il comprend tout ça. Son nouveau meilleur ami lui a ouvert les yeux et lui montre la vraie vie, les vrais jeux. Alors quand Gaétan décide de voler, pourquoi Ludo ne l’imiterait pas ?


Les gens honnêtes – Première partie

Aujourd’hui, Philippe fête son anniversaire. 53 ans, déjà. Sa maison est confortable, ses enfants sont grands, sa mère est bavarde, son nouveau vélo est magnifique. Une belle tranche de vie, dans la simplicité, l’honnêteté. Mais celui qui empoisonne le gâteau, c’est le patron de Philippe quand il lui annonce son licenciement. Victime collatérale de la mondialisation, Philippe coule à pic. Perd tout, même son toit. Mais cette plongée au coeur de lui-même va lui permettre d’ouvrir son regard sur les autres. Les gens honnêtes n’ont rien d’ordinaire.
Chronique de la tragi-comédie du quotidien, Les gens honnêtes marque la rencontre entre deux auteurs réunis par la tendresse qu’ils éprouvent pour leurs personnages. Jean-Pierre Gibrat, au scénario, et Christian Durieux, au dessin, savent faire vibrer à l’unisson la parcelle indicible de la création romanesque: son humanité.


Naissance d’une légende

À la mort de Tashi, tué par une balle chinoise, Péma Ling accepte de reprendre le flambeau laissé par son frère et devient de facto le chef d’une bande de brigands qui ne connaissaient avant elle que la violence aveugle. La jeune femme se donne pour mission d’éduquer ses hommes. Elle leur apprend les rudiments du sengueï ngaro, cet art du combat que les moines lui avaient enseigné dans sa jeunesse. Elle dirige ensuite la violence de son « armée » vers des cibles cette fois bien précises : les gyalpos qui gouvernent les provinces, les Chinois qui envahissent les plaines et les montagnes et tous les lamas corrompus qui ne cherchent que le pouvoir et les honneurs. Péma Ling tient sa revanche à portée de fusil. La « lionne des neiges » peut enfin rugir !


Touche pas à mon exploit !

Prince Gédéon rêve d’exploits grandioses qui lui permettraient de devenir chevalier. A la suite d’un pari avec Milena, il se doit d’en accomplir un sous les yeux de sa petite amie… Oui mais voilà, le Roi, son père, l’oblige à faire de la couture, de la poésie et de la cuisine, comme tout bon Prince de la Cour. Heureusement, le dragon Glukovoras et son armée de Raquipiks veulent envahir la cité ! Qui donc va pouvoir enfin faire preuve de bravoure, de courage et de détermination au combat ? Prince Gédéon, bien sûr… Mais sans que son père ne le sache.


Saison 1

Napoléon Tran, mère corse et père vietnamien, vient de perdre son grand-père. Pas facile, à 10 ans, d’être confronté à la mort de son grand-père bien aimé. Surtout quand vos parents sont plus occupés à divorcer qu’à prendre soin de vous. Pépé Tran l’a bien compris, et revient de l’autre monde pour jouer les anges gardiens. Mais qui, du fantôme ou du petit garçon a le plus besoin de l’autre…
Onze épisodes humoristiques et tendres qui dédramatisent la maladie, la mort et le divorce.


La BD dont tu es le héros !

« La BD dont tu es le héros » n’est pas une BD qui se lit mais une BD qui se joue. Elle est interactive : le lecteur/joueur doit aider Cédric à séduire Chen, il est confronté à des situations où il a des choix à faire.
Toutes les cases sont numérotées. À la fin de la lecture de chaque case, le lecteur/joueur a le choix entre plusieurs possibilités. Ces possibilités renvoient à d’autres cases qui développent les conséquences de ses choix.
Les cases ne sont donc pas lues dans l’ordre des numéros. Le lecteur/joueur parcourt la BD dans tous les sens, en fonction des options qu’il a choisies. Des quizz, des tests, des blagues et des devinettes sont également de la partie.
« La BD dont tu es le héros » peut donc générer plusieurs histoires et être jouée plusieurs fois. Il y a un début, des étapes clés incontournables, mais tout le reste dépendra des choix du lecteur/joueur et le mènera à l’une des quatre fins inédites dessinées par Laudec.
Des heures d’amusement en perspective !


Le dragon blanc

Un jour, alors qu’elle retourne chez son grand-père et sa nourrice, Garda, elle surprend une de leurs conversations dans laquelle elle apprend que son père, très grand chasseur de dragons est toujours en vie…Furieuse contre Garda et son grand-père de lui avoir menti sur ses parents et n’écoutant que son coeur, elle décide de partir à la recherche de son père. Cependant, cette guerrière impitoyable va rencontrer des adversaires plus impitoyables encore qu’elle et se retrouver dans des situations dangereuses où seuls sa candeur et son courage auront raison des dragons en tout genre.


Lilly et le lord

Genino a passé deux ans en prison à ruminer la vengeance qui sera la sienne à sa sortie. Quand l’heure de la libération sonne enfin, il intime à ses hommes de main l’ordre de retrouver Lilly, son ex, et Jack Lord, celui-là même qui a l’outrecuidance de la séduire juste avant son incarcération. Au pays de sa Gracieuse Majesté, comme beaucoup d’autres mets, la vengeance est un plat qui se mange froid…


Lucky Luke – L’Intégrale n° 3

Cette intégrale comprend :
« L’élixir du Dr Doxey »
« Chasse à l’homme »
« Lucky Luke et Phil Defer le Faucheux »
« Lucky Luke et Pilule »
« Des rails sur la prairie »
Les années 1950. Morris est aux États-Unis depuis quelques années. Il y est arrivé avec Franquin et Jijé, qui lui a présenté « un Français, un véritable cinglé », René Goscinny. Puis les deux belges ont quitté la terre des cow-boys, laissant Morris en compagnie de son nouvel ami. C’est alors tout naturellement que la collaboration va naître… Avec le succès que l’on sait.
La galerie des méchants
Goscinny enrichit la galerie de méchants créés par Morris. À Doxey le charlatan, Phil Defer le tire-gachette et Cucaracho le tricheur.