La véritable histoire des éditions Dupuis
Les Éditions Dupuis fêtent leurs cent ans en 2022 ! Un événement qui valait bien un luxueux album : La Véritable Histoire des Éditions Dupuis, où deux spécialistes du neuvième art, Christelle Pissavy-Yvernault et David Amram, vous raconteront l’histoire des Éditions Dupuis sous toutes ses facettes depuis 1922. Un livre unique en son genre, composé d’articles à picorer au gré de votre humeur et richement illustré de centaines de documents souvent rares ou inédits. Vous pourrez ainsi tout (re)découvrir de l’esthétique de l’école de Marcinelle, de l’histoire éditoriale de Dupuis, de ses convictions morales, de son engagement patriotique et éducatif, mais aussi de son côté subversif et, bien sûr, de l’histoire de toutes ses collections et de ses titres de presse, dont Les Bonnes Soirées, Moustique et Spirou ! Un must have pour tout amateur de BD.
Papa pop / 8 variantes de couverture
La vie avec quatre filles c’est pas facile, pour un papa solo ! Mais lorsque ses trois aînées prennent un peu d’indépendance et quittent le nid familial, ce sont soudain de nouveaux soucis (et d’occasions de gags !) qui crépitent autour du pauvre Dad ! Sans oublier que Bébérénice et la chienne Mouf lui donnent bien du fil à retordre… Car sa benjamine, qui est elle aussi sur le chemin de l’indépendance (et du pot), nécessite une attention de chaque instant… Ce n’est encore pas cette fois que Dad décrochera un Oscar, mis à part dans nos coeurs !
Nob, plus que jamais, nous parle de la vie, la vraie, dans Dad. Car il se pourrait bien que sa propre fille ait récemment pris un peu d’indépendance, comme celles de son attachant héros… À noter que vous retrouverez bientôt toute la petite famille dans une série de dessins animés, à partir de septembre 2022, d’abord à la RTBF puis sur M6 !
L’histoire de Nathan
L’ambulance fonce vers sa destination. À son bord, un garçon très mal en point : multiples fractures et traumatisme crânien. Cette aventure commence par le terrible accident arrivé à Nathan, ce beau et intelligent jeune homme qui avait un magnifique avenir de joueur professionnel de foot devant lui.
Mais que s’est-il passé dans les jours qui ont précédé cette tragédie ?
Quelles manigances d’Iceman, l’homme d’affaires sans scrupules, et de Duraton, le directeur de l’école, ont entraîné la catastrophe ? Et les « accidents » survenus aux coéquipiers de Nathan : en sont-ils vraiment ? Et quel rôle ont joué les deux voyous qui harcelaient Nathan ? Et Brane, le tueur à gages ? Et Louca : que vient-il faire dans cette aventure ?
Les réponses à ces questions se trouvent dans le tome 10 de cette série palpitante.
Enfin, l’histoire de Nathan est racontée chronologiquement et dans les moindres détails !
Un chant de Noël – Une histoire de fantômes
Londres, 1843.
Tous les habitants, les mieux lotis comme les plus démunis, s’apprêtent à fêter Noël.
Tous, à l’exception de Scrooge. Aux yeux de cette riche commerçante, insensible au malheur des autres comme à l’atmosphère de liesse qui baigne la cité, seuls le travail et l’argent ont de l’importance.
On la dit radine, égoïste et mesquine. Elle préfère considérer qu’elle a l’esprit pratique. Et tandis que les festivités illuminent la ville et le coeur de ses habitants, Scrooge rumine sa misanthropie…
Une nuit, des esprits viennent lui rendre visite. Ils l’emmènent avec eux, à la rencontre de la jeune fille qu’elle était, quelques années plus tôt, lorsque la cupidité n’avait pas encore rongé son coeur. Mais aussi à la découverte de celle qu’elle aurait pu devenir si elle avait choisi la voie de la bonté…
Après le Bartleby d’Herman Melville, José Luis Munuera adapte librement un autre classique de la littérature anglo-saxonne : Un chant de Noël, de Charles Dickens.
Munuera s’empare ainsi d’un des chefs-d’oeuvre de l’écrivain anglais, paru en 1843, et féminise le personnage de Scrooge. Une relecture délicieuse, à savourer pour les fêtes !
Le Loup en slip s’arrache
Dans la forêt, on le sait, le train-train du quotidien t’emmène rarement bien loin.
Mais il suffit d’un petit pas de côté, d’une petite musique entrainante, d’une barque qui glisse au fil de l’eau et hop ! On s’arrache ! C’est parti pour l’ailleurs !
Pour la première fois de sa vie, le Loup en slip quitte le giron douillet de sa forêt natale et découvre d’autres façons de vivre. Un drôle de train l’arrache à son train-train, il part pour le lointain ! Les pays inconnus, les gens pas comme lui ! C’est l’aventure !
Au marché coloré de la somptueuse vallée des idoles, il découvre d’autres cultures, d’anciennes croyances presque oubliées, des bichonneurs de statues qui toilettent d’anciens dieux dont on a oublié le nom mais qui ont des têtes sympathiques.
Il rencontre surtout la plus envoûtante des renardes du désert, qui le guide dans ce grand inconnu, ce vaste champ du « pas comme chez nous » et sur un autre territoire plus périlleux encore : celui des sentiments.
Un album pour voyager léger, sans chocottes ni baluchon, et rentrer à jamais changé !
Noir burlesque 2/2
Pour Slick, les choses ne s’arrangent pas. Jusqu’à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne.
Rex, pour qui il n’avait travaillé qu’une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d’art. Et pas n’importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia.
Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais.
Et les ennuis de Slick ne s’arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l’un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c’est que du sang et de larmes vont couler…
Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950.
Chauds comme le climat
C’est la fête à Montcoeur ! Le maire a décidé d’organiser un « pique-nique de l’amitié et du vivre-ensemble ». Hélas, le vivre-ensemble a du plomb dans l’aile, ou plutôt un pic à brochette dans les fesses. Celles du maire, en l’occurrence, victimes d’une agression de Berthe, l’ancienne amante de Mimile.
La fête est donc de courte durée, d’autant qu’on apprend bientôt la mort d’Armand Garan-Servier, le patron de l’entreprise qui porte son nom.
À son décès s’ajoutent d’ailleurs plusieurs incendies inexpliqués qui ne font qu’attiser les tensions déjà palpables dans le village…
De son côté, à Paris, Antoine participe à la manifestation du 1er mai, où il s’oppose à la violence d’un militant des « black blocs », avant de se retrouver à l’hôpital après une charge policière musclée. Et il n’est pas au bout de ses peines…
L’événement lui vaut également une empoignade avec Pierrot, venu lui rendre visite. Un accrochage symbolique, qui témoignerait presque de l’impossible réconciliation au sein de la grande famille de la gauche…
Lupano et Cauuet signent un nouvel épisode jubilatoire des Vieux Fourneaux, une série qui concilie engagement social affirmé et conscience politique éclairée, le tout servi par un humour joyeux et un humanisme contagieux.
Hypericon
1998, Teresa, brillante étudiante en archéologie, décroche une bourse et un poste à Berlin pour participer à la préparation d’une grande exposition sur la découverte du tombeau de Toutankhamon. Sa bible de travail, le journal d’Howard Carter.
Elle rencontre Ruben, un jeune Italien rêveur et fantasque, venu s’éclater à Berlin.
Parallèlement aux crises de couple dues aux insomnies chroniques de la jeune femme et à leurs moments intimes d’un amour passionné, leur histoire se révèle entre la Vallée des Rois et la folie berlinoise de la fin du XXe siècle. Qu’adviendra-t-il de leur futur ?
La temporalité chère à Manuele Fior raconte par cette romance deux époques qui se confrontent et s’entremêlent, unies par le motif de l’hypéricon, cette fleur aux mille vertus.
Huit heures à Berlin
Printemps 1963.
Dans l’Oural, au coeur de l’Empire soviétique, une mission archéologique découvre sept cercueils. À l’intérieur, des cadavres dont la peau du visage a été arrachée.
Au même moment, à Berlin, un homme se fait tirer dessus alors qu’il franchit le Mur coupant la ville en deux. Avant de succomber, il réussit à prononcer un mot étrange : Doppelgänger.
A priori, aucun rapport entre ces deux événements.
Mais en réalité, il existe bien un lien entre la macabre découverte et le transfuge abattu. Ce lien porte un nom : Julius Kranz, un chirurgien est-allemand spécialiste des manipulations électro-chirurgicales sur le cerveau humain.
L’un après l’autre, Mortimer et Blake vont croiser la route de ce scientifique machiavélique. Ils auront la désagréable surprise de retrouver à ses côtés un aventurier sans scrupules, qui prépare la plus grande mystification de l’histoire de l’humanité…
Antoine Aubin met son trait éminemment « jacobsien » au service du scénario original de José-Louis Bocquet et Jean-Luc Fromental, qui conjugue la grande aventure, les brouillards de l’espionnage, les dérives de la science et les ressorts cachés de l’Histoire.