La Chance de Sébastien

Chouette ! C’est la rentrée des classes ! Jojo et Gros-Louis se font une fête de pouvoir montrer leur nouveau gadget : la « Foufflette », un bonbon avec un ballon à l’intérieur. Personne ne semble résister à cette nouvelle mode, pas même monsieur le directeur ! De quoi épater le petit nouveau : Sébastien Poissou. En voilà un qui porte bien son nom… ! Capable de perdre mille billes d’un coup ou de déclencher une véritable cascade de catastrophes avec un simple clou, ce pauvre gosse aurait bien besoin d’un vaccin contre la malchance !


Le duel


Halloween


Le Choucas rapplique

31 décembre 1999. À l’heure où l’on s’apprête à célébrer l’an 2000, le futur Choucas, ouvrier remonteur de pendules, est licencié, sacrifié sur l’autel du progrès. À cinquante ans, pas facile d’entamer sa reconversion. Une rencontre fortuite, du temps à ne plus savoir qu’en faire, il n’en faut pas plus pour s’improviser détective. Le Choucas est né.


Une Vie de Chien !

Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère (exemplaire), son père (« bricoleur » et gaffeur) et Bill (gentil cocker). Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de SPIROU en 1959. Si Boule apparaît dans tous les gags, Bill lui ravit rapidement la vedette. Ce chien farfelu apprécie bien sûr les os, les jolies chiennes, sa copine la tortue, ses amis les oiseaux et son jeune maître (Boule).
De son trait rond, et jovial, l’auteur décrit par une suite de gags les aventures quotidiennes de cette famille particulièrement sympathique qui vit dans une maison où il fait bon vivre.
L’environnement de cette famille est tout de suite identifiable : un pavillon coquet, un jardin et une voiture (la fameuse 2CV rouge)!
Gros succès de l’édition, cette série avoisine les 1000 gags et dépasse les 7 millions d’exemplaires vendus. Roba a quitté les éditions Dupuis pour Dargaud en 1987: les 21 premiers titres sont donc édités chez Dupuis.


Le Capitaine Écarlate

Un masque d’or, des pluies magiques, une chaloupe accostée au premier étage d’un immeuble parisien, des têtes qui volent, une vague apprivoisée. Au coeur de ce récit fantastique, un jeune écrivain (*) vivra la plus extraordinaire des aventures qui soient. Et sera confronté aux figures les plus obsessionnelles de son imaginaire.
(*) Le personnage de l’écrivain est directement inspiré de Marcel Schwob (1867-1905), auteur, entre autres, du « Roi au masque d’or ».


Le Fusil dans l’eau

Alors qu’ils fuient une horde de motards alcoolisés, Jeremiah et Kurdy tombent sur Jason, qui croupit au fond d’un puits. En échange de leur aide, Jason leur propose de venir se réfugier chez lui, au fin fond des marais. Le marché semble honnête. La famille de Jason, elle, est moins enthousiasmante; il y a Marge, la mère nymphomane, surveillée par Less, son quatrième mari, toujours sur le qui-vive. Il y a Tod, Willie et Shank les frères taiseux et belliqueux qui se seraient passés de visiteurs. D’autant que Jeremiah et Kurdy viennent déranger une affaire de famille, sous forme d’une valise pleine d’argent que Jason a dérobée. Pour ses frères, l’heure des arrangements est terminée… et les témoins vivants ne sont pas désirés.


Condamné à perpète

Quand la Mort raconte sa vie, il y a de quoi la plaindre : travailler sept jours sur sept, nuits et jours fériés compris, sans aucuns congés payés, pas de pause déjeuner, pas de treizième mois, pas de sécurité sociale et aucune indemnité de chômage en cas de faute
professionnelle ! Et si elle pense à se mettre en grève, on s’empresse « là-haut » de la remettre dans le droit chemin… Être la Mort, c’est vraiment pas une vie et en plus c’est à perpète !