La Septième porte

Une fillette aux pouvoirs magiques, un chef de guerre miné par une étrange maladie vont unir leurs pouvoirs aux forces d’Aria pour franchir la septième porte et surmonter d’inquiétantes épreuves…

Enfin, l’enfant d’Aria vient au monde. Cornu, couvert d’écailles, des griffes prolongeant les mains. Pourquoi est-il né ainsi? Qu’est-il vraiment ? Ange ou démon?

L’Agent 212 reprend du service pour mieux s’attaquer aux chauffards, aux régimes amaigrissants, aux suicidés chroniques, aux squatters, aux femmes de flics… bref à tous les empêcheurs de rouler tout droit.

Solitude et timidité emboîtent le pas à la nostalgie présente en filigrane dans cet album. Geerts traite notre société à la manière d’un peintre impressioniste, en bâtissant un imaginaire au moyen de petites touches de lumière. À l’aide de sa palette aux tons soyeux, il brosse des tranches de vie en sfumato. L’école, le cellule familiale, la psychanalyse, les voisins, les grands espaces sont quelques-uns des thèmes qui rythment ce recueil. La vieillesse, témoin de la patine du temps, y côtoie la candeur de l’enfance. Sous le glacis, apparaissent clairement de nombreuses questions existentielles. Avec beaucoup de talent, Geerts distille nos angoisses typiques d’une fin de siècle, toute en paradoxes.Laissez-vous bercer par cet humour délicat et vous échapperez aux méandres de ce monde cruel…

Armée de sa seule épée, Aria se rend à Tavelborg pour y disputer les Jeux d’Hiver. Là, elle devra participer à l’étonnant « combat des dames » qui la délivrera du tourmenteur de son passé.

Pour élever son enfant en toute sécurité, elle décide de rejoindre l’Arnolite, le pays de ses amis les frônes. Mais à l’approche de la terre promise, Aria sent une sourde inquiétude l’envahir…

Chargée de trouver une gornexe, fleur de météorite à dix pétales et aux pouvoirs divinatoires, la belle amazone va affronter les pires dangers…