Silence on tourne !

Alors qu’il se promène dans la forêt, Compère Renard tombe soudain nez à nez avec une drôle de bête qui crache du feu : un dragon ! Il s’empresse de raconter sa mésaventure

à Sylvain. Bien décidé à en avoir le coeur net, celui-ci découvre que ce monstre est un simple accessoire utilisé pour le tournage d’un film… Ainsi débute ce quarante-quatrième épisode des aventures de Sylvain et Sylvette, toujours en forme malgré leurs soixante ans – la série est née en 1941 dans le journal Coeurs vaillants. Cette fois, les gentils héros découvrent le cinéma. En compagnie des Compères, qui acceptent de jouer les acteurs en échange de nourriture, ils sont les vedettes de  » La bête et la belle « . Grâce à eux, le film ne comportera aucune scène de violence. Mieux : il se transformera en une belle histoire digne d’un conte de fées…


Britney forever

Le petit dernier de la famille « Poisson Pilote » met en scène une galerie de personnages qui ont tous comme point commun d’apprécier, d’une façon ou d’une autre, la musique. Le Stéréo Club est une petite boutique de musique, dirigée par Jacky, dans laquelle se croisent ces personnages.

Dans ce premier album nous découvrons Guy, csp+ comme on dit, quadra, parisien, sale caractère, divorcé qui apprécie le jazz et le bon vin (il s’occupe même d’un cercle d’amateur de jazz et de vin). Un tantinet collectionneur, il est surtout pétri de certitudes, notamment en matière de musique dont il est un spécialiste. Jusqu’au jour où son adolescente de fille lui fait écouter sa chanteuse à la mode préférée, une certaine Britney.
Insupportable pour Guy qui est totalement allergique à ce genre de musique mielleuse, évidemment. Evidemment, c’est ce qui devrait se passer… Mais de façon totalement imprévisible, Guy commence à s’intéresser de façon quasi obsessionnelle à cette Britney, allant jusqu’à commettre des actes insensés. Guy perd alors la tête jusqu’au dénouement final…
Chaque album mettra en avant un personnage dans une histoire complète avec cette boutique comme fil conducteur grâce au talent de deux jeunes auteurs venus de la publicité et d’internet qui jettent un regard amusé et féroce sur notre petit monde.


Vas-y Basile !

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


Bouquet de gags !

Qu’ils sont bêtes, ces compères ! Vous savez bien, ces quatre animaux qui ne pensent qu’à une chose : entrer dans la chaumière de Sylvain et Sylvette pour dérober de la nourriture. Il y a le renard (lui, c’est un peu le chef), le loup, le sanglier et l’ours. Celui-là, c’est vraiment le plus bête ! Par exemple, quand compère renard propose de mettre un masque pour faire fuir les habitants de la chaumière, devinez ce qu’il choisit comme déguisement ? Un masque… d’ours !

Cette fois encore, Sylvain et Sylvette peuvent dormir tranquilles… Déjà le 47e album des aventures de Sylvain et Sylvette, les deux gentils paysans… Comme le temps passe ! Pourtant, depuis ce jour de 1941 où ils ont été créés par Maurice Cuvillier, ils n’ont pas bougé d’un pouce. Ils portent toujours leurs foulards et leurs petits sabots. Et leur bonne bouille aussi sympathique que souriante continue à enchanter des générations d’enfants… Cette fois, nos petits amis vont se régaler en découvrant les gentils gags concoctés par Bélom et Jean-Louis Pesch. De quoi leur donner envie de s’installer à la campagne avec leurs animaux préférés…

Mais attention aux compères, les enfants ! Même s’ils sont plus bêtes que méchants… Jean-Louis Pesch (de son vrai nom Jean-Louis Poisson) naît à Paris en 1928. Mais il ne reste que neuf jours dans la capitale avant de partir vivre à la campagne, à Juvardeil (Anjou). Là, il découvre les bienfaits de la nature et des animaux. À quatorze ans, il revient à Paris pour s’inscrire à l’école des Arts appliqués. Il débute dans la BD en 1954 et dessine des histoires pour enfants. En 1956, l’éditeur Fleurus lui propose de succéder à Maurice Cuvillier, le fondateur de Sylvain et Sylvette. En 1980, il imagine les aventures médiévales de Bec-en-Fer.

Aujourd’hui, Jean-Louis Pesch vit et travaille à Bor-et-Bar (Aveyron). Entouré d’animaux, évidemment ! Son scénariste, Bélom, est né en 1950 à Chanteloup. Après des débuts dans la publicité, il se lance en 1980 dans le dessin d’humour et la BD. Depuis, il travaille pour la presse et écrit des scénarios pour des séries destinées à la jeunesse.


Cascade de gags !

Cascade de rire en série pour nos deux héros. Les compères et toute la troupe sont bien évidemment présents dans cette série de gags en une planche qui réjouira petits et grands.


Strigoï

La volluptueuse et entreprenante Tatiana suit jusqu’en Roumanie (la patrie de Dracule et des Ceaucescu) la piste de son grand-père, le sulfureux Docteur Kolovenko, alias Strigoï. Ce dernier, savant spécialisé dans la biogénétique, y officierait à présent sous le couvert d’une société de production de film X…On ne s’ennuie pas !

Avec cet album, sensuel et aventureux, Meynet justifie sa réputation d’homme qui sait dessiner les femmes.


Premier de cordée

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


Renard fait bande à part

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


Sauve qui peut

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


Branche ton neurone !

Ed est un ado normal. Il n’aime pas la campagne, ni la plage, ni rien. Ce qu’il aime, c’est râler. Il est guitariste, il chante des trucs sans concessions, genre « dur dur d’être un rebelle », et il passe des auditions pour entrer dans un groupe, mais ça ne va jamais : c’est trop violent, trop gai, pas assez « heavy », etc. Finalement, il atterrit dans un groupe de filles tendance « groove techno jungle house rai ». Bref, le style «méga compil».

Ed veut juste être le grand guitariste du troisième millénaire. Mais il découvre que jouer dans un groupe de filles, c’est pas le bon plan. Disons que les filles lui piquent la vedette pour la place de sex-symbol. Malgré tout, il fait un tabac avec le bermuda « top naze » que lui a acheté sa mère.

Il découvre aussi que les filles, c’est compliqué : ça veut une salade sans vinaigrette, du poulet à la place du jambon, et les tomates servies à part. Et pour la musique un petit morceau groovy avec des maracas à la place de la batterie.

Heureusement, il se sent moins seul : il a invité Momo et Big Ben à rejoindre le groupe. Ils ne savent pas jouer, mais ça ne changera rien. L’important, c’est que Momo est beur, Nina est black, ça fait un groupe top politiquement correct.

Et puis, big news et grosse émotion : les copains viennent de toucher leur premier cachet. Ils ont joué dans la rue pour tester leur potentiel, et un type leur a filé dix euros pour qu’ils arrêtent de jouer. Ça démarre très fort.

Si on ajoute quelques problèmes de préservatifs, de tatouages et de drague inopérante, on a un héros et une bande de copains tout à fait représentatifs de leur époque, et une BD attachante, bourrée de gags en une planche. Le tout servi par un graphisme « rap » mêlant les techniques traditionnelles et le travail à l’ordinateur. À mettre entre toutes les mains à partir de 9 ans.