Revoilà Héraclès (demi-dieu très costaud) et Socrate (demi-chien parlant) débarquant à Ithaque. Fatigué des débordements sexuels de son maître — « il est épuisant avec sa bite, celui-là » —, Socrate souhaite l’inciter à se fixer et fonder une famille. Or, quel plus beau modèle d’amour conjugal que le roi Ulysse, époux de Pénélope ? Mais ils trouvent Pénélope en larmes, car Ulysse, après avoir fait des pieds et des mains pour rentrer au foyer, vient de se tirer sans explications. N’écoutant que sa libido, Héraclès console Pénélope, et, dans le même élan, éventre Télémaque (fils d’Ulysse et Pénélope) venu défendre l’honneur de sa mère.
Ça démarre très fort. Coincé entre différents « personnages littéraires de premier ordre » — Homère (six mètres de haut, poète, cyclope, aveugle) et Ulysse (une femme, trois gosses, vingt maîtresses, une guerre mondiale et un penchant pour les garçons) —, Socrate va en prendre plein la poire, connaître la trahison, la violence, la tendresse (d’une femme moche mais caressante) et même un bonheur éphémère avec le grand poète aveugle. Une aventure philosophique, sexuelle et guerrière formidablement drôle — les dialogues et les commentaires du toutou sont étincelants — servie par un graphisme somptueux. Aventure à l’issue de laquelle, lassé du fonctionnement humain, le chien fidèle choisit la liberté. Malgré la peur, « ni dieu ni maître » est donc sa devise à l’aube de sa prochaine aventure, Œdipus Rex.
Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.
Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin, » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…
Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.
Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…
Après la Glaise des cimetières, nous retrouvons Thomas Noland dans l’enfer du Vietnam, où il espère retrouver son père, Trevor, correspondant de guerre porté disparu.
Prisonnier des Viets au fond de la jungle, Thomas raconte à ses copains la suite de la saga Noland : la vie trépidante de ses grands-parents, Timothy et Sugar Love, respectivement mafioso et strip-teaseuse. Nous assistons à leur mariage, sous l’oeil bienveillant du parrain Alberto Mora – et très malveillant de Bepe Scalizi, amoureux de la mariée. Nous les voyons vivre dans le luxe et la fête, jusqu’à l’assassinat de Timothy. Nous apprenons la « vérité » sur le fameux massacre de la Saint-Valentin, qui mit fin le 14 février 1929 à la guerre des gangs de Mora et Al Capone. Et nous voyons Sugar Love, rejetée de tous, abandonner son enfant – Trevor, le père de Thomas – avant de se suicider.
Par le biais d’un récit à tiroir où les témoins remontent du passé pour raconter ce qu’ils ont vu, c’est la légende de l’Amérique qui défile derrière la saga Noland, avec un sens très sûr de l’aventure et du mélo, saupoudré d’un curieux mélange d’onirisme et de réalisme qui donne son charme à la série
Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.
Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin, » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…
Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.
Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…
Le 42e tome d’un incontournable classique de la BD pour enfants! Sylvain et Sylvette réussiront-ils enfin à se débarrasser des vilains Compères?
Le cirque Brocoli a replanté son chapiteau à Laville. Son ex-vedette, l’ours Bastien, est invité à assister à l’une des représentations avec Léocadie, son épouse, et leur fils Basile. Sylvain et Sylvette sont également conviés au spectacle. Ils y sympathisent avec l’un des artistes, un magicien. Celui-ci se propose de leur apprendre quelques-uns de ses tours dans le but d’effrayer les Compères… Le résultat semble convaincant. Le tour final dont Renard est victime, s’avère même particulièrement efficace. Mais cela suffira-t-il à persuader les Compères de quitter la région comme le souhaite Sylvette?
Attention les Compères attaquent la nuit ! ! ! Mais, ils vont cette fois tomber sur très forte partie, une soucoupe volante et des extraterrestres…
L’occasion pour Bérik de faire partager sa passion des étoiles et de donner à ses jeunes lecteurs une joyeuse leçon d’astronomie.
En effet, Bérik, depuis qu’il est gamin se passionne pour les étoiles et les mystères du ciel. Il a donc conçu, sous le regard bienveillant de Pesch une histoire très classique autour des compères et des étoiles filantes dans laquelle il glisse beaucoup de petites leçons d’astronomie.
Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.
Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin, » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…
Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.
Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…
Le regul (coktail de chaleur et de pollution qui transforme la ville en marmite) stagne sur Paris. Il faut être fou pour s’agiter mais Polka, ex-flic recyclé en privé, est sur les dents – avec flegme et humour, tout de même. Convoqué par le commissaire Malvak, puis engagé par le président du Sénat lui-même, il est chargé de débrouiller une sale affaire. Un truc pire que la guerre des polices : un syndicat de policiers qui semble décidé à faire le ménage dans la zone. Une milice secrète qui recrute des groupes de » nettoyeurs » dans les B.S.I.M. (brigades spéciales d’intervention majeure) pour incendier les gourbis et flinguer les zonards. Le syndicat s’appelle Le Prince, et le déjanté qui l’a créé aussi. Leur prochain objectif : un cloaque de réfugiés yougos. Ou la guerre civile…
Ajoutez à ça un brin de schizophrénie, une grosse brute parfumée à la violette et une tueuse en imperméable, et vous obtenez un formidable polar futuriste, aussi distrayant que rigoureux, qui soulève avec efficacité des problèmes déjà brûlants aujourd’hui.
Nous sommes en 2038. Lorenz Polsky, dit Polka, est un détective préfectoral qui, du jour au lendemain, doit rejoindre la clandestinité. Trafic d’organes, manipulations politiques, menace nucléaire… Polsky a fort à faire ! Une série au ton percutant et moderne.
Jason est enfin proche du but, il est sur Kentron, à quelques pas de sa fille. Pour ce jeune marchand considéré comme un fuyard, un lâche, qui a causé le malheur de ses proches, renié sa caste et la Fédération, Una représente toute l’innocence de sa vie d’avant, tout ce qui reste de sa dignité humaine.