En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.
Pirates en mer des Indes
Barbe-Rouge, alias le » Démon des Caraïbes « , est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Ballade pour un cercueil
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.
Terreur sur le Kansas
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.
Mission Sherman
Dernier édifice à la légende Blueberry, Marshal Blueberry a permis à William Vance de renouer avec le western qu’il affectionne tant.
Frontière sanglante
Enfin le troisième et dernier volume (très attendu) de la trilogie Marshal… Heaven, la ville frontière, ne connaît plus de répit depuis l’arrivée du nouveau représentant de la loi. Ce dernier a décidé de mener la vie dure aux trafiquants qui l’avaient laissé pour mort à la fin de l’épisode précédent. Mais on ne se débarrasse pas comme ça de Mike S. Blueberry….
Ombres sur Tombstone
« Un joueur professionnel abattu dans le dos », annonce l’édition spéciale du Tombstone Epitah. Rien que de très banal, à un détail près : le joueur s’appelle Blueberry, une vraie célébrité, d’après le gros Campbell, journaliste à Boston.
Mais avec trois balles dans le corps, Blueberry n’est pas mort. Et dès qu’il ouvre un oeil, Campbell se précipite à son chevet pour recueillir ses mémoires. Ça démarre mal : le premier exploit du « héros » de l’Ouest consiste à prendre une biture, vautré dans la boue avec les cochons…
Pendant ce temps, Strawfield fête en fanfare le départ pour Tucson de son convoi d’argent, que les Clanton projettent d’attaquer, déguisés en Apaches. Et tandis que l’ombre de Geronimo rôde dans les collines, le drame se tisse : il aboutira au fameux massacre d’OK Corral.
Ombres sur Tombstone, qui a fait l’objet d’une prépublication estivale dans Le Monde, est bâti sur un défi : le héros, scotché à une table de jeu dans Mister Blueberry, passe cet épisode cloué au lit. Ce qui n’empêche pas Giraud, seul aux commandes depuis la disparition de Jean-Michel Charlier, de mener l’action en virtuose, avec sa tribu de personnages irrésistibles et sa dose habituelle d’humour. Quant au dessin, il est à la hauteur de la réputation du Maître jusque dans les moindres recoins du décor – du petit intérieur coquet de Ma Clanton au dessus de lit du héros. Le tout servi par une belle mise en couleurs signée Florence Breton.
Mister Blueberry
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.
Il faut tuer Lincoln
Eléonore Mitchell, l’ex agent d’Allan Pinkerton s’est alliée à un groupe de fanatiques répondant au nom du » Poignard de sang « , qui a fomenté un complot visant à assassiner le président Lincoln lors de son retour en train à Washington.
Croyant Blueberry mort, alors que celui-ci vient de se tirer des griffes des sudistes, elle se dirige avec ses complices vers la gare de triage d’Upper Darby par laquelle le train, où voyage incognito leur future victime, doit transiter. Upper Darby où Blueberry et ses compagnons viennent d’arriver par des moyes différents.
Upper Darby où l’affrontement final doit se dérouler, alors qu’au même moment, loin de là, d’autres évènements se déroulent, destinés eux à réduire à néant les armées du Nord. Toujours très inspiré par son séduisant et sympathique héros, Corteggiani nous offre une aventure trépidante mise en valeur par un Blanc-Dumont au sommet de son art, particulièrement dans les scènes d’action.
Trois hommes pour Atlanta
Lorsque J-M Charlier et Giraud se lancèrent dans La Jeunesse de Blueberry, ils ne pouvaient pas imaginer à quel point cette autre facette de la vie de Blueberry allait passionner les lecteurs. c’est Michel Blanc-Dumont qui en assume aujourd’hui le graphisme – avec maestria – aux côtés du scénariste Corteggiani.