Evadés de la prison, les «innommables» se retrouvent au bordel «Le Lotus pourpre». Pendant que Tim y compense de longues journées d’abstinence sexuelle, la disparition d’Alix plonge Mac dans un état de profonde prostration. Seul Tony a conservé toutes ses facultés d’action.
Alors que «l’homme-chien» et le colonel Lychee attendent un rendez-vous, leur jonque est accostée par une vedette de la police, mais ils parviennent à lui échapper et à négocier l’achat des urnes du Torquemada avec les Chinois. Encore faut-il les leur livrer.
En épousant la fille de son pire ennemi pour résoudre une part de ses problèmes, Basile Jardine ignore, quant à lui, qu’il a accompli les véritables dernières volontés de son père… En l’emmenant avec lui marchander chez l’adjoint de feu Sir Jardine, le détenteur du vrai testament de ce dernier provoque un accident qui sort Mac de sa torpeur. Celui-ci file immédiatement au «Lotus pourpre» dans l’espoir d’y rejoindre Alix. C’est toutefois compter sans la haine que lui voue la maquerelle. Tim et un copain de passage neutralisent la maîtresse femme, mais Mac est mis KO.
Pendant ce temps, les urnes du Torquemada continuent de susciter d’âpres convoitises tant du côté des communistes que de celui des nationalistes. Toujours déterminés à éliminer Alix, le colonel Lychee et la gérante du bordel la recherchent activement. Et partout les cadavres s’amoncellent !
Mac apprend alors qu’une fillette est née de ses amours avec Alix. Reste maintenant aux «innommables» à retrouver cette enfant.
Il s’en passe des choses étranges, dans les maisons bourgeoises du début du XXème siècle ! Cyril Bonin creuse la veine d’un Maurice Leblanc en nous invitant chez les Dambroise, famille toute à la joie des retrouvailles avec Alma, la soeur prodigue, de passage entre deux aventures. Mais la fête est gâchée par le mystérieux vol de trois tableaux de famille, sans valeur autre que les souvenirs. Il est l’heure pour l’inspecteur Alcide Leblanc d’entrer en scène, et de démêler l’artifice de la réalité, la fiction de la vie !
Partout, les arbres refleurissent. Et le mage Bedlam, affreux gnome qui règne en tyran sur les terres de l’Eruin Dulea, y lit les signes annonciateurs de l’accomplissement des légendes : « Le jour où les arbres de vérité refleuriront, ce qui est mort en ces terres revivra… Un chant se lèvera, et celui qui l’entendra reprendra la lutte contre l’usurpateur ».
Un matin à l’aube, en effet, un chant se lève sur les plaines : la Complainte des Landes Perdues. Celle qui l’entend, c’est Sioban, fille du Loup Blanc et seule héritière véritable des terres de l’Eruin Dulea. Ce jour-là, une armée fantastique surgit de nulle part et conduit Sioban jusqu’aux Landes Perdues : les soldats de son père, morts au combat, qui se sont relevés pour elle.
Seamus, son protecteur, l’avait prévenue qu’un jour, une question lui serait posée : « Le mal est-il au coeur de l’amour ? » Et là-haut sur les Landes, son père lui redit que le plus difficile ne sera pas de gagner d’horribles batailles, mais de « frapper au coeur du mal » – qui est peut-être au coeur de l’amour. En effet, de maléfices en sortilèges, le diable lui-même n’y reconnaît plus ses petits.
Inspirée d’une littérature anglo-saxonne fantastique, violente et bariolée, une histoire pleine de sombres magies, mais aussi d’un humour pimpant illustré, entre autres, par Ouki, adorable bestiole un peu ivrogne et tout à fait indestructible : après avoir ingurgité une marmite entière de poison réputé capable de tuer un boeuf (glaires de crapauds, jus d’araignée, etc…), elle émet un vague « burp » et va s’endormir dans un coin…
« J’organise des spectacles, des rencontres privées où l’organisation des corps ne laisse rien au hasard. J’ai affaire à des regards blasés, des imaginaires corrompus par la satiété… Je me donne parfois, mais il faut me mériter. Oleg Kozca jouit de ce privilège : me tenir contre son corps, me déshabiller parfois. Me posséder si l’envie lui en prend. Il n’a jamais réussi à me faire jouir. Aucun homme ne réussit à me faire jouir. Mais je crée l’illusion. C’est mon métier… »
Ainsi parle Wanda, jeune femme accueillante du réseau Vénus H. Comme toutes les escort girls de la mystérieuse « Mademoiselle », moderne Madame Claude, elle semble un monstre froid, incapable d’éprouver un sentiment, machine à plaisir observant les mâles qui tourbillonnent autour d’elle. Évident, son masque craquera. Comme a craqué celui d’Anja, héroïne du premier tome, tombée pour son malheur sous le charme d’un petit juge qu’on l’avait chargée de séduire et de compromettre. Comme Miaki, l’héroïne du deuxième volume, qui séduit les hommes en leur faisant goûter une seule bouchée d’un poisson aphrodisiaque. Si Anja sacrifie sa vie pour sauver son amour, Miaki réussit à tirer son épingle du jeu.
En sera-t-il de même pour Wanda ?
Qu’est-ce qui pourra faire craquer le vernis d’une femme ne connaissant pas le plaisir ? L’amour maternel peutêtre. Ou quelque chose qui y ressemble…
Nous sommes dans les années 1970. Étienne Robial et Florence Cestac ont ouvert la librairie Futuropolis et créé les éditions du même nom. À ses (rares) heures perdues, Cestac griffonne, sur son éphéméride, un personnage transgenre, moitié animal (Mickey Mouse) moitié homme (le détective Harry Dickson). Un peu plus tard, un premier album éponyme paraît ; il est daté du quatrième trimestre 1980. S’ensuivent cinq autres albums, tous rangés sous la glorieuse bannière de Futuropolis : Harry Mickson nettoie ses pinceaux (1982), Mickson et les Gaspards (1985), Ma vie est un roman policier (1986), Le Chien coiffé (1986) et enfin – premier chef-d’oeuvre qui lui vaudra un Alph’art de l’humour à Angoulême –, Les Vieux Copains pleins de pépins (1988).
Occupation du volcan par les militants de « La Branche Insoumise », mouvement #Balance-ta-pierre contre la domination mâle dans la sélection naturelle et crise conjugale dans la famille Dotcom : le Paléolithique est en crise !
Homo-erectus charismatique mais controversé, l’homme de Cro-Macron parviendra-t-il à imposer la bipédie chez toutes les espèces pour sauver le monde de la stagnation ?
La famille Dotcom revient en ordre de marche pour le tome 8 de la série la plus avancée de la sélection naturelle !
Drame des migrants, victoire du Front Néanderthal, angélisme bobo-sapiens, menace terroriste suivie en direct sur les chaînes d’évolution en continu : ce nouvel album de Silex and the City attaque frontalement tous les thèmes les plus brûlants de notre époque.
Pour respirer plus librement, et continuer à clamer haut et fort notre liberté d’hominidés supérieur, découvrez ce tome 7 plein de bruit, de rires, et de fureur. #JeSuisSapiens !
Seul album de Floc’h sans Olivia Sturgess et Francis Albany, Jamais deux sans trois, scénarisé par Jean-Luc Fromental, est un hommage non déguisé aux grands chefs-d’oeuvre hollywoodiens des années quarante. Deux gentlemen, parangons de l’élégance new-yorkaise, se disputent une femme, épouse de l’un et maîtresse de l’autre… à moins que ce ne soit l’inverse. Marivaudage à la Lubitsch, sommet d’un chic intemporel qui cache sous des dehors somptueux une réjouissante immoralité, cette oeuvre remarquable mérite pleinement d’être redécouverte.
La suite de la saga de la famille Saint-Hubert dans le monde de la finance au lendemain du Second Empire. Une grande fresque passionnante qui permet de mieux comprendre notre société moderne et le rôle des banques à la veille de la Première Guerre mondiale.
Dans « Autorisation de découverte », 4e tome de Silex and the City, Jul centre le récit sur la famille Dotcom et les bouleversements qu’elle traverse…
Dans ce quatrième épisode, les Dotcom sont sous le choc : tous sont persuadés que la jeune fille de la maison, Web, est enceinte ! Cette nouvelle déclenche une crise familiale sans précédent. La famille est au bord de l’explosion quand tombe une terrible nouvelle : Spam est atteinte d’un cancer du singe. Les Dotcom vont se serrer les coudes, favorisant ainsi sa guérison.
4e volet de Silex and the City, une BD sur la famille pour rire en famille.