Lorsque POG, célèbre youtubeur automobile et collectionneur de bolides, lui propose une course pirate sur route ouverte, de New York à Los Angeles, Michel Vaillant est d’abord dubitatif. Mais il se laisse finalement prendre au jeu de la Cannonball, cette course mythique sans règles, où tous les coups sont permis. Mais peut-être vont-ils l’être un peu trop ! Car entre sabotage informatique et attentat à la bombe, quelqu’un semble bien décidé à ce que la nouvelle Vaillante, la MontlHéry, n’arrive jamais à bon port… Les centaines de milliers de fans suivant Michel Vaillant et POG sur les réseaux sociaux vont-ils assister en direct au chant du cygne de deux des plus grandes stars du monde de l’automobile ? Attention : grand spectacle en perspective !
Lapière fait rugir tout son talent dans ce Vaillant confrontant – dans la plus pure tradition Graton – Michel Vaillant, héros de fiction, et POG, personnalité réelle. Il est accompagné d’Olivier Marin et Marc Bourgne, qui fait son retour sur la série.
Aphrodite, reine de beauté de la mythologie grecque, nous dévoile les dessous et affaires privés des dieux et déesses de l’Olympe… Un vrai Panthéon de fourberies et d’adultères ! Tous les épisodes de ce sitcom légendaire dans lequel Aphrodite, la mère d’Éros, tient le premier rôle vous seront racontés avec tout l’humour et le talent de Nadja Fejtö qui voit, dans ces contes et légendes antiques, un reflet quasi documentaire de nos vies contemporaines !
Le principe du jeu vidéo de Game Over ? Un petit barbare (pas toujours super adroit, il est vrai…) doit sauver une princesse (pas toujours super maligne, avouons-le…). De ce postulat limpide, Midam le génie du gag et toute sa team orchestrent des situations toujours plus loufoques et inattendues, dégénérant systématiquement en éclats de rire et d’hémoglobine ! Un humour transgressif mais résolument tous publics, plébiscité plus que jamais par les lecteurs du journal Spirou, qui trouvent dans ce prolongement de l’univers de Kid Paddle l’occasion de se régaler de l’intrusion des célèbres Blorks ! Game Over ? Au bout de 21 tomes, on redemande toujours du « Same player shoot again ». Une longévité exceptionnelle dans le monde de la BD.
Leur survie dans un monde post-apocalyptique était déjà compliquée… Mais voici que Vanille, Minus et les autres enfants s’enfoncent un peu plus dans le cauchemar…
Alors que Vanille, inconsciente, est la victime désignée des terribles « Têtes de pieuvre » de la divinité Yog-Sothoth, deux étranges créatures accourent soudain à son aide. Minus, lui, toujours séparé du groupe, se débat dans un rêve étrange, emprisonné avec d’autres enfants aux pouvoirs hors-normes. Les deux héros, tout comme Chief, La Crado, Testo, La Taupe et les autres jeunes survivants d’un monde apocalyptique soumis au règne d’une brume qui pourrait les changer en « baveux » – des zombies sans âme – vont-ils enfin comprendre comment sortir de ce cauchemar ?
Entre Lovecraft, Stranger Things et Les Goonies, Betbeder et Djief composent une saga aux ambiances palpitantes et inédites, faisant de Créatures LA nouvelle référence de la BD jeunesse d’aventure. Une série qu’on vous déconseille de lire tout seul à la maison si vous craignez les frissons !
Ady, fille d’un basketteur célèbre, est une ado gâtée et capricieuse. Autant dire que sa vie change brutalement lorsqu’elle perd ses parents dans de mystérieuses circonstances. Heureusement, Ady est envoyée sur L’ÎLE, orphelinat paradisiaque loin de tout, créé par René Zayer, patron de groupe pharmaceutique et philanthrope. Malgré la présence d’une centaine de « frères et soeurs » super bizarres, comme Dimon, une brute vicieuse, Ady va vite apprécier le luxe de l’île, ses équipement et son absence de scolarité ! Jusqu’au jour où elle va découvrir qu’il y a deux types d’ados sur L’ÎLE : ceux qui ont subi « l’Évolution Z » – de dangereux zombies étudiés par Zayer afin de commercialiser un sérum d’immortalité –, et ceux dont la seule finalité est de les nourrir… Mais de quel groupe Ady fera-t-elle partie ? Pour le découvrir, elle ne pourra compter que sur son courage et celui de Kareem, son mystérieux compagnon d’infortune…
Moi, moche et méchant, sont devenus un véritable phénomène, au point que le premier film qui leur était consacré en 2015 a détrôné leur maître au box-office. Ils sont désormais aussi des stars en bande dessinée et reviennent à l’écran avec Les Minions 2, Il était une fois Gru.
Ce nouvel album qui accompagne la sortie du film Les Minions 2 en France reviendra sur l’enfance et les origines du petit Gru ainsi que sur les circonstances de son irrésistible ascension. De quoi peut-être lever le mystère sur le rôle joué par les petits sbires jaunes au service du super-vilain.
Ce nouvel album qui accompagne la sortie du film « Les Minions 2 » en France reviendra sur l’enfance et les origines du petit Gru ainsi que sur les circonstances de son irrésistible ascension. De quoi peut-être lever le mystère sur le rôle joué par les petits sbires jaunes au service du super-vilain…
Petits, tout jaunes et amateurs de bananes, les minions sont devenus un véritable phénomène depuis la sortie des films Moi, moche et méchant. Stars contemporaines de l’humour absurde et rois de la gaffe, après avoir voyagé dans le temps et l’espace, ils quittent leur vaisseau et leur labo dans ce cinquième tome pour faire un peu d’exercice et réinventer le sport en musclant surtout les zygomatiques. Car s’ils font preuve d’une énergie débordante, ils ne sont pas près de rafler les médailles.
Devenir bête et méchant, ça s’apprend ! Il y a même une école pour ça. Une école où toutes les valeurs qu’on connaît dans notre monde humain sont inversées : il est interdit de lever son doigt pour répondre, d’étudier le soir chez soi ou d’arriver à l’heure à l’école. Les petits monstres qui fréquentent cette école profitent pleinement de cette situation, sauf Boloss, un petit monstre intelligent, délicat et sensible, qui n’arrive pas à respecter ces règles qui lui semblent un peu contre-nature. Il aimerait tellement être gentil et apprendre à lire et à écrire. Ce qui en fait évidemment le cancre de la classe et la honte de ses parents. Arrivera-t-il à s’intégrer ou va-t-il constituer un exemple déplorable pour ses condisciples ? En silence et tout seul, il rêve d’un monde où les enfants seraient comme lui…
Une série jeunesse, bourrée de monstres, qui fait réfléchir aux valeurs de notre société avec une vraie réflexion sur la différence et l’acceptation de celle-ci.
L’amour a parfois le goût de la noisette.
Ou du chocolat amer, c’est selon. Tout dépend des circonstances et des hasards de l’existence.
Il existe autant d’histoires d’amour que de couples, autant de rencontres que d’individus et de tempéraments. Mais il paraît qu’elles finissent mal, en général.
Il est vrai que les occasions manquées, les espoirs déçus et les rêves inaboutis font partie de la vie amoureuse. Le bonheur n’est pas toujours simple à attraper. Certains ont même une fâcheuse tendance à le fuir de peur qu’il ne se sauve, comme dirait la chanson de Jane Birkin.
Avec ce troisième volet d’Un petit goût de noisette, Vanyda entremêle les destins de ses personnages – qu’on les connaisse déjà ou non – si différents et pourtant si proches, de Corentin à Éléonore de Tristan à Fée, de Samir à Léon et à mademoiselle Fourmi, la jeune fille qui fuyait les belles rencontres.
Même si l’amour ne suffit pas toujours à bâtir une relation durable, il faut pourtant continuer à y croire. Parce que tout est possible et parce qu’il faut prendre nos rêves au sérieux. Et parce que les histoires d’amour, parfois, finissent plutôt bien…
Les années 1990, quelque part en Russie.
L’URSS a cessé de vivre. Son utopie appartient au passé, tout juste bonne à figurer dans les livres d’histoire.
Dans un décor qui fait la part belle à l’immensité des espaces russes autant qu’aux vestiges de l’architecture soviétique, deux maraudeurs se livrent à une activité pour le moins douteuse : mettre la main sur toutes sortes de babioles susceptibles d’intéresser de riches investisseurs.
L’un, Dimitri Lavrine, est un trafiquant sans scrupules. Selon lui, tout s’achète et tout se vend. L’autre, Slava Segalov, est un artiste qui a renoncé à ses rêves de gloire et tente de se faire une place dans ce monde nouveau qui s’ouvre à eux. Il suit Dimitri à contrecoeur, déchiré entre son éthique et la dette qu’il a contractée envers ce dernier.
Au moment où commence cette histoire, ils sont occupés à récupérer, dans un bâtiment à l’abandon, tout ce qui peut se monnayer. Mais rien ne va se passer comme prévu…
À travers la destinée tragi-comique de deux pieds nickelés emportés dans la tourmente de l’Histoire, Slava est une saga en trois tomes qui brosse le portrait d’un pays déboussolé, qui amorce une transition incertaine, et annonciateur de la Russie d’aujourd’hui.