Après Bruges, la « Venise du Nord », Vasco découvre le Sud de la Belgique et y affronte le cruel fantôme qui hante le manoir de Godefroi de Bouillon…
Le ciel est noir de colère. Et depuis des semaines, Vasco ne décolère plus. Il n’arrête pas de pleuvoir sur les grandes forêts ardennaises et ce déluge entrave le voyage que le Siennois a entrepris en compagnie de ses amis Van Loo et Bayan. Poussés par la famine, les paysans se tiennent en embuscade, prêts à détrousser ces orgueilleux seigneurs qui ne les protègent plus. En fait, les Ardennes tremblent : une bête mystérieuse tue sauvagement les hommes et décime les troupeaux.
Les Citadelles de sable
Vasco est envoyé au Maroc par son oncle afin de remettre une missive à son frère Lorenzo. Mais ce dernier s’est allié au rebelle Abou Saïd pour renverser le sultan en place. Il est à présent chef de la garnison militaire de Marrakech et doit faire face à une bande de pillards qui empêche tout commerce, ainsi qu’à une concubine qui joue un double jeu…
Rienzo
1354. Cola di Rienzo aima passionnément Rome, plus que tout être humain. Il aima la « Ville éternelle » et voulut lui rendre sa liberté confisquée par une noblesse turbulente et despotique. Il voulut aussi lui rendre son prestige d’antan. Il souleva à ce point l’enthousiasme des Romains qu’il réussit à les débarrasser des barons sans verser une goutte de sang. C’était cependant compter sans la rancune tenace de ceux-ci…
L’Ermite de Skellingar luxe
Thorgal a enfin retrouvé sa famille. Mais avant de pouvoir vivre en paix avec eux, il lui reste à enterrer un fantôme du passé : celui de Shaïgan, le redoutable pirate qu’il est devenu lors de son amnésie. En souvenir d’une jeune fille qui fut sa victime, Thorgal part en direction de l’Ile de Skrellingär. Dans ce lieu désolé et hostile, il devra affronter un culte étrange qui pousse ses adeptes au suicide.
Walthéry
Ce premier « beau-livre » dédié à François Walthéry inaugure la collection « Une Vie en dessins ».
Il présente plus de 200 fac-similés de planches originales scannées et reproduites avec soin. En vedette, Natacha, mais aussi Les Schtroumpfs, Benoît Brisefer, le P’tit Bout d’chique et tous les autres personnages de Walthéry.
Le triomphe du dessin via couvertures, séquences légendaires, originaux alternant castagne et mystère et agrandissements de cases. Un nouveau regard sur l’art de Walthéry.
Walter Minus – Lovely Faces
Un beau-livre Champaka Brussels, conçu dans les règles de l’art, présentant +/- 80 illustrations réalisées, ces dix dernières années, par Walter Minus. Il y a longtemps que les illustrations et les tableaux de cet artiste français incarnent la quintessence de la féminité. Sans vulgarité, toujours avec grâce. Connu pour ses visages de femmes fatales à la chevelure souvent vaporeuse, le dessinateur excelle dans l’art du cadrage, volontiers resserré, proche parfois d’une certaine forme d’abstraction. Toujours en recherche du geste parfait, l’artiste saisit les détails de la féminité : lèvres, yeux, cheveux. En les assemblant à l’aide de quelques traits pour laisser de plus en plus de place au blanc, il abolit les limites de l’espace et rend ces visages immortels. Volutes, arabesques et courbes forment une écriture entrelacée. Unique, reconnaissable entre toutes. Et pourtant toujours en évolution.
Guillaume Sorel – Les Chemins du Fantastique
Un beau-livre Champaka Brussels, conçu dans les règles de l’art, présentant +/- 80 illustrations réalisées, ces dix dernières années, par Guillaume Sorel, un auteur dont les bandes dessinées (Casterman, Delcourt, Glénat, Rue de Sèvres) baignent dans un climat fantastique de très haute qualité. L’auteur est, en effet, à la tête d’une bibliothèque et d’une banque d’images hors normes dans ce domaine. Il est réellement habité par son sujet et cela transpire dans son travail. Et encore plus quand il l’attaque, avec force, dans le domaine de l’illustration. La plupart des images seront accompagnées de textes passionnants de l’auteur, afin de pénétrer plus avant sur les chemins du fantastique qu’il se plaît à arpenter avec brio. Et, surtout, de démontrer la cohérence et la richesse de son univers.
Yves Chaland
Yves Chaland est un auteur essentiel au sein du monde de la bande dessinée. Dans les années 80, il a été un des grands rénovateurs de la ligne claire. À travers une oeuvre magistrale (« Bob Fish », « Freddy Lombard » et « Le Jeune Albert »), Chaland a développé un univers imaginaire de première force : celui de la bande dessinée belge des années cinquante revisitée par son incroyable fantaisie. Sans oublier son extraordinaire travail d’illustrateur. Un beau livre Champaka Brussels présentant plus 250 originaux scannés et reproduits avec soin. Triomphe du dessin via couvertures, séquences légendaires, illustrations magiques, originaux alternant action et mystère et agrandissements de cases, « Yves Chaland, une vie en Dessins » est servi par un texte de référence rédigé par Jean-Christophe Ogier et des citations éclairantes d’un auteur hors-normes.
Floc’h – Art by Floc’h
L’illustration est depuis toujours le jardin secret de Floc’h et, de plus en plus, son domaine d’excellence. Ses dessins pour les plus grands cinéastes comme Alain Resnais et Woody Allen, et pour des marques prestigieuses comme Cartier en sont la démonstration. En combinant onctuosité du trait, sens de la composition et élégance absolue, il participe au bonheur du monde. Comme celui des calligraphes chinois, son trait supporte des agrandissements vertigineux. À l’image d’Hergé dans « Tintin au Tibet », il est fasciné par le blanc, une couleur qui participe avec force à la sérénité de son dessin.
Outre ses albums devenus des classiques de la Ligne claire, les illustrations de Floc’h incarnent la quintessence de l’élégance « british ». Ce beau livre présente plus de 80 des meilleures illustrations réalisées par l’artiste ces 30 dernières années. Pour les rendre encore plus exceptionnelles, Floc’h les a toutes remises en couleurs spécialement pour cet ouvrage. Et, cerise sur le gâteau, en introduction, un texte vivant et accrocheur présente l’art de l’illustration de Floc’h.