Cette intégrale reprend les albums 5 à 8 : « Cubitus pour les intimes », « Heureux qui comme Cubitus », « Raconte-moi Cubitus », « Tu le fais exprès ou quoi ? ».
Ce n’est pas parce que le petit Bidule fait ses grands débuts en solo que l’on doit oublier son oncle : l’illustre, le débonnaire et volubile Cubitus ! Le Lombard poursuit la réédition intégrale de l’oeuvre majeure de Dupa. À l’instar de Greg, son maître et ami, l’auteur de « Cubitus » possédait ce don du gag en une page, porté aussi bien par un dynamisme visuel de tous les instants que par une verve jamais tarie. Ces quatre albums en attestent une fois de plus. Et ce n’est que le début…
De l’Aubépine aux monstres les plus Zinnomables du petit peuple, Filibert Bolowzig, expert reconnu en la matière, égrène les différents aspects de la féérie, prodiguant conseils, anecdotes, et autres petits contes pour grands enfants pas si sages.
Meilleures amies du monde et colocataires, Clémence et Alixia n’ont aucun secret l’une pour l’autre. Clémence sort d’une rupture difficile et ne veut plus s’engager. Alixia n’a jamais connu l’orgasme et désespère. Le même jour, la première tombe sous le charme d’un client lors d’une réunion de travail ; la seconde découvre enfin le plaisir tant recherché dans les bras d’un inconnu rencontré en boîte. Et si toutes les deux avaient rencontré le même homme ?…
Retour aux sources des Dhizis, l’Asie ! Quelques mois après les événements de Chicago, Ange et Lisa ont réussi à gagner la banlieue de Shanghaï, où notre héros tente tant bien que mal de lutter contre la faim de pouvoir qui lui hurle de s’emparer du Dizhi du Dragon, détenu par sa petite amie. Cela dit, il ne sait pas encore que les environs regorgent de nouveaux Dizhis… pour le meilleur et pour le pire !
Tous les lecteurs historiques du journal « Tintin » le savent : la caricature était le violon d’Ingres de Tibet. Croqueur infatigable, il aimait à capturer, puis déformer tous les visages qui lui passaient sous les yeux, constituant avec les années un véritable panégyrique de l’âge d’or de la bande dessinée. De Morris à Hergé, de Belmondo à Cloclo… en noir et blanc ou en couleurs, avec son inimitable « ligne claire », l’auteur de « Chick Bill » et de « Ric Hochet » (avec Duchâteau) a noirci bien des cahiers. En guise d’hommage à cet artiste regretté, Le Lombard rouvre ce coffre aux trésors qu’était « La Tibetière ».
Karl a littéralement été absorbé par un jeu vidéo en ligne, « Le Maître des Ogres ». Coincé dans cet univers virtuel, sa seule chance de revenir au monde « normal » est de parvenir au dernier niveau, l’Île des Os, aux côtés de ses compagnons numériques : l’ogre Karnos et sa fille Phaline. Mais, pour cela, il faut d’abord que Karnos retrouve son trône, objet de maintes convoitises. La sorcière Althéa, son ennemie séculaire, tient peut-être là l’occasion de mettre enfin la main sur la dépouille de l’ogre… Car « Le Maître des Ogres » est un jeu multi-joueurs. Sous l’avatar d’Althéa, la redoutable Nicole observe, prête à profiter de la moindre des erreurs de nos héros… Et il n’y a pas de deuxième chance après le Game Over !
Un désastre écologique frappe le sud de la Thaïlande. Le directeur de la sécurité d’une multinationale chimique s’inquiète pour son usine. Mais sa firme fait partie du Comité, une organisation non gouvernementale très privée. Blackline, son bras armé, dépêche une escouade de mercenaires pour faire le ménage. A sa tête, Bao Jay Greaves, un ancien officier des Marines, enrôlé après le 11 septembre 2001, idéal pour le job. Même si celui-ci évolue en temps réel, au gré des motivations sibyllines du Comité…
Au moment où nait sa petite-fille Louise, David apprend qu’il a un cancer.
Mais la parole n’a jamais été son fort, et il préfère taire la maladie, la douleur, et la fin qui se profile.
Au grand dam des femmes de sa vie – sa femme Paula, ses filles Miriam et Tamar. Impuissantes, elles assistent à ce délitement silencieux, mais inexorable.
Aucun pathos ne traverse ce roman graphique tout en sensibilité colorisé avec une aquarelle de circonstance (Le Monde)
Si l’on peut tout dire en BD, comme le pense Judith Vanistendael, la réussite est une affaire de style. La preuve… (Télérama)
Attention chef d’oeuvre, vraiment ! (L’Express)
Dans les 20 indispensables de l’été 2012 selon l’ACBD.