Depuis 1995, Bodart figure (trop rarement) au sommaire de SPIROU avec d’excellentes histoires courtes au dessin d’une virtuosité surprenante, sur des scénarios de Janssens, Sauger, Thiriet, Zidrou et Veys. Il tâte de tous les genres avec des albums tels que « Les Aberrants » (sur scénario de Lamquet chez Lefrancq), « F1 93 : Prost-Senna, le défi » (textes de Froissart à La Sirène) ou le collectif « Johnny, les années 60 » aux Presses de la Cité.
Avec son iconoclaste complice Yann, il participe au décryptage de l’oeuvre d’Andersen dans le premier volume de la série « Sales petits contes » : « La Porchère qui avait perdu son ombre » est de l’humour (très) libre sur l’époque médiévale.
Depuis, il anime avec Vehlmann les contes de « Green Manor », toujours pour la collection « Humour Libre ».