C’est aux côtés de Jean Dufaux, puis Luc Dellisse, qu’il creuse une veine réaliste et sombre, mais Durieux, qui se définit lui-même comme une « éponge super absorbante », a plusieurs cordes à son arc. Le one-shot « Benito Mambo » prouve au public qu’il est aussi capable d’être « enlevé et joyeux », clou enfoncé par ses multiples incursions dans le domaine de la jeunesse. Devenu auteur complet, s’il prône toujours ses références, il est certain qu’aujourd’hui, l’éponge regorge de talents !