Délaissant, pour un temps, la BD, Garcia s’oriente vers l’illustration et publie dès cette époque dans quantité de revues. A cette époque également, il passe « de l’autre côté de l’image » et sert de modèle photographique à son ami J.C. Claeys pour ses albums Whisky’s Dreams et Paris Fripon. L’ignoble Varen du premier, le tueur fou à la personnalité multiple et ambiguë du second, sous divers accoutrements ou attitudes, grimaçant, parfois méconnaissable, c’est lui.
S’il est vrai qu’on n’abandonne jamais complètement ses premières amours, la tentation est forte de revenir à la bande dessinée…
C’est en 1980, travaillant essentiellement pour des revues juvéniles, que ses travaux paraissent dans Tintin – où il adapte des nouvelles fantastiques d’Edgar Poe et de Maupassant – et, dans certaines publications des Editions Fleurus (Djin, Turbule…)
1981, nouvelle expérience. Il s’associe avec Rouge et crée un atelier. Une histoire courte publiée dans Circus (un Spécial nostalgie) et de nombreuses illustrations paraissent signées Valentin Strigelius, pseudonyme choisi pour leurs travaux communs.
Enfin, dans Charlie, il illustre une série d’articles intitulée Les Légendes de la mer dont l’auteur n’est autre que son scénariste favori, Rodolphe.