En 2007, il remporte le premier prix du concours Jeunes Talents du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême.
En 2009, il publie son premier album, « Le Roi banal » (Casterman), un récit écrit par Antoine Ozanam. Les deux auteurs récidivent en 2012, avec « Moi en mieux » (Casterman).
Park participe ensuite à plusieurs projets collectifs en Corée et en France.
En 2015 sort « Yallah Bye » (Le Lombard), un drame familial écrit par Joseph Safieddine, qui se déroule au Liban, alors sous les bombes.
L’année suivante, il signe, avec le journaliste Nicolas Hénin, « Histoire d’Haytham » (Dargaud, 2016), qui raconte comment un jeune Syrien, obligé de fuir son pays, se réfugie en France.
Les principales influences artistiques revendiquées par Park appartiennent aussi bien au monde occidental, avec des artistes comme Gipi, José Muñoz, Edmond Baudoin, Cyril Pedrosa ou Pascal Rabaté, qu’au monde asiatique, avec les auteurs coréens Lee Hee-jae ou Huh Young-man et, plus généralement, la bande dessinée traditionnelle chinoise (« lianhuanhua »).