Parallèlement à ces incursions dans le monde des bulles, Frédéric Richaud poursuit une fructueuse carrière d’homme de lettres, entamée à la fin des années 90. Il publie alors plusieurs biographies consacrées aux écrivains Luc Dietrich, René Daumal ou encore Boris Vian et collabore régulièrement avec de nombreux magazines (Le Figaro, Le Nouvel Observateur, L’Echo des Savanes…) Mais c’est avec des ouvrages de fiction que Frédéric Richaud se fait remarquer par la suite : citons « Monsieur le jardinier », « La Passe au diable », « Jean-Jacques », tous publiés chez Grasset et traduits dans de nombreux pays.