56
1
240 * 320
28/08/1999
17+
Après les affres de l’amour et les joies de La Vie en Rose, Florence Cestac nous décortique un autre sujet d’intérêt général : les vacances.
Petit échantillon du programme :
Vacances dans un joli coin qui a su garder son charme (un resto, un night-club, une boutique Hi-Fi, un resto, un night-club) avec chambre sur poubelles et emmerdements variés. Ou encore les vacances à la neige entre femmes avec douze mômes. Ereintant.
Juillet en Ré. Très classieux.
Août au camping pastaga-merguez. Moins classieux.
Les vacances « on est une bande de chouettes copains, et pour la bouffe on fait bourse commune » (ça finit mal).
Les vacances « c’est la crise, on va chez pépé et mémé », avec réveil à l’aube par le coq maison, déjeuner super léger (potée, moka) et coffre très chargé au retour, etc.
On se croirait à la traditionnelle séance de diapos familiale, avec commentaires appropriés : « Ça, c’est le jour où on s’est fait piquer la carte bleue et la voiture ! Il tombait des cordes ! » A l’état brut, c’est consternant. Avec Florence Cestac, qui a le don (précieux) de traquer le burlesque au quotidien, c’est à mourir de rire. Et ce sable dans le maillot nous fait remonter un tas de sacrés « bons » souvenirs.